Les permis pour accéder à des sites touristiques vont devenir obligatoire.
Le tourisme de masse a fait une nouvelle victime: la plage paradisiaque de Koh Phi Phi, en Thaïlande. Déchets à outrance, aller retour incessant des bateaux, plage noire de monde. On est bien loin de l’image idyllique. Cette plage est désormais fermée au public. Ce sont tous les jours des centaines de touristes débarquant sur des bateaux à moteurs qui venaient polluer la plage, juste pour dire « j’y étais », le temps d’un selfie.
Une situation qui met en danger les sites touristiques rares (Mont-Blanc, Venise, le Machu Picchu, les 5 Terre, Angkor Vat… et jusqu’à alors protéger mais aussi les élus qui font face à la fronde de leurs usagers. La liste des sites mis en péril par le tourisme de masse s’allonge de jour en jour. En 2017 il ya eu 1,3 milliard de touristes.
L’exemple de l’Islande est frappant en 2017, pour une population de 330 000 habitants il ya eu plus de 2,2 millions de touristes. Avec de tels chiffres, pas étonnant que les sites saturent. Fini, l’improvisation. Aujourd’hui, il faut réserver des mois à l’avance dans l’espoir d’obtenir un logement ou un restaurant à un prix décent.. Avec l’arrivée du tourisme pour senior, il n’y a tout simplement plus de basse saison.
La solution prônée par l’UNESCO pour protéger les sites touristiques classés est d’imposer des quotas de visiteurs journaliers. Alors, pourquoi rien n’est fait à ce jour ? Tout simplement parce que de telles actions auraient un impact financier négatif.
Le gouvernement péruvien a doublé depuis 2015 l’accès au site Machu Picchu véritable poule aux œufs d’or pour le gouvernement : 3 800 places officielles avant le 1er juillet 2017, contre 5 940 à partir du 1er juillet 2017. Le gouvernement impose un guide officiel qui prendra en charge un maximum de 16 touristes. Sous prétexte de protection du patrimoine, ils ont simplement mis au point une méthode leur permettant d’engranger plus d’argent.
Toutes ces solutions temporaires ne font que retarder l’échéance; seule l’imposition de quotas de visiteurs pourra amener une bouffée d’air frais dans ces espaces devenus invivables.
Ce sont 500 paquebots par an qui s’arrêtent dans la baie de Venise. Suite au ras-le-bol des habitants et aux menaces de l’UNESCO de classer la ville sur la liste des sites du patrimoine mondial en péril, le gouvernement a élaboré un plan interdisant l’accès à la place Saint-Marc aux paquebots.
En montagne aussi, le tourisme de masse détruit la nature. Le problème lié aux nombreux passages des voyageurs provoquent outre les dégâts du aux déchets et au manque de civisme l’érosion des sentiers de randonnées. Les Cinque Terre, par exemple, ferment régulièrement les sentiers de randonnées des cinq villages car l’érosion des chemins les a rendu dangereux sous peine de mettre en danger les randonneurs eux même. Les élus vont imposer un permis d’ascension pour le Mont-Blanc permettant de limiter le nombre d’escaladeur, d’augmenter la sécurité du site, d’encadrer le logement en refuge et de protéger l’environnement écologique du site. Il a fallu beaucoup d’énergie aux élus pour lutter contre les intérêts économiques de certains acteurs qui ont une vision courtermiste du tourisme en montagne. Le Mont-blanc est unique, le préserver en limitant ses ascensions de masse, c’est permettre à des générations d’acteurs économiques de vivre , plus longtemps et mieux grâce à cette montagne exceptionnelle.
Il faut considérer les lieux exceptionnels comme des objets de luxe et donc les traiter enfin avec respect.
Que faire pour protéger les lieux exceptionnels du tourisme de masse ?
La solution pour limiter le nombre de visiteurs : un permis d’accès digital via la solution Tourist iD.
Tourist iD c’est quoi ?
Tourist iD , c’est permis d’accès digital.
Smartphone iD a développé un permis d’accès digital infalsifiable disponible sur son smartphone et pouvant être contrôlé par des personnes autorisées. Ce permis permet de contrôler l’accès à un site touristique et du même coup limiter la fréquentation des touristes.
Pas d’investissement d’équipement pour la collectivité : un smartphone permet de contrôler les touristes.
Notre application « Tourist iD » délivre le forfait d’accès où que vous soyez dans le monde dans plus de 60 langues. L’accès aux sites touristiques devient payant et le paiement se fait par carte bleue. Grâce à notre permis d’accès digital, le touriste peut d’acheter un droit de visite, s’identifier ou identifier un groupe de touristes en conservant ses informations sur son téléphone. Ce permis d’accès digital lui sera demandé pour accéder aux sites. Ce permis d’accès digital lui imposera un planning et donc régulera à l’avance les hordes de touristes. En cas d’incivilité, le touriste pourra être facilement identifié et pénalisé. Le site sera ainsi protégé.
Tourist iD, c’est aussi une nouvelle source de revenus pour les collectivités territoriales.
L’ensemble des données de « Tourist iD » est inscrit dans une blockchain privé disponible sur son téléphone mobile. Les données sont consultables depuis le téléphone mobile que ce dernier soit ou non connecté à un réseau télécom.
Pour en savoir plus : contact@smartphone-id.com